1-Participants

2-Objectifs du stage

3-Déroulement du stage

4-Impressions et réflexions personnelles

1-Participants

Une vingtaine de personnes se sont réparties entre les trois séances d e 3 heures qui ont composé ce stage.

Les cinq enseignants du dojo Atemi Mont d’or, ainsi que la plupart des anciens, ont ainsi côtoyé trois enseignants du Yoseikan budo lyonnais, une enseignante  Trfi de Sallanches, et un de Sisteron, auxquels se sont ajoutées deux personnes du dojo Charpennes.

2-Objectif de ce stage.

La venue de Paolo Magagnato constitue  pour le dojo Atemi une perspective intéressante à plus d’un titre.

Tout d’abord, les diverses pratique que mène Paolo  demeurent dans le droit fil de la notre, soit le tai-chi de synthèse, le Pakua chuan et le Xing- Yi chuan, sans compter que ce meme Paolo pratique aussi le Yi chuan.

Fort d’une trentaine d’années de pratique dont de nombreuses sous la direction de Kenji Tokitsu dont il était le représentant officiel en  Italie, Paolo  a  ensuite beaucoup voyagé en extrême orient, ou il y a rencontré, en Chine et au Japon de nombreux maitres. .Fondateur et  responsable technique de l’association « movimiento e percepzione  «  à Milan (voir site) , il enseigne à plus de deux cent élèves à titre professionnel ; il est représentant officiel  de l’école Chang Ming en Europe (voir site ), ; il a comme vaste projet celui de fédérer, , au sein d’un vaste courant , les clubs européens qui pratiquent ce meme tai chi.

L’école Chang Ming, dont le siège se trouve à Taiwan,  est l’école  de transmission traditionnelle d’arts martiaux chinois de Maitre Wang Fu lai, disciple de feu  maitre, Wang shu  Jin, le fondateur du tai chi des synthèses authentiques.

Maitre Wang Fu lai a contribué à enseigner ce tai-chi maître Kenji Tokitsu   , à la fin des années  1980.

Rappelons rapidement, pour mémoire, que ce tai- chi est, comme son nom l’indique, une synthèse des divers styles basiques que sont le Yang, le Chen, le Wu, le Sun, auquel ils convient de rajouter des éléments de Pakua et de Xingyi chuan.

Cet enchainement fut crée Taiwan dans les années 50 par Wang shu Jin , alors qu’il y  était réfugié politique fuyant, avec d’autres maitres de ces divers styles,  le dur régime continental de Mao Tse Toung

Ces maitres décidèrent de tenter d’unifier le tai chi, en incluant, au sein du meme enchainement, ceux qu’ils considéraient comme les meilleurs éléments  de chaque style ou de chaque  discipline, ce qui confère à ce Tao (kata, enchainement)  une mine de techniques riches et diverses . Cet enchainement a été adopté par Kenji Tokitsu au sein de ses diverses écoles successives, ,mais  adapté selon des applications incluant une  dimension « percussives  «  (coups frappées) , alors que les applications originelles s’orientent davantage vers les saisies, dégagement de saisies,  ou la luxation ; la forme proposée par Paolo recèle en conséquence un certain nombre de modifications et de différence, tant sur le plan énergétique, gestuelle que martial ;  ceci constitue, à mon sens,  un plus pour notre pratique , un évolution plus que positive .,

L’objectif de ce stage a donc été de vérifier si les différences de fond et de forme des deux tai chi respectifs  , d’une part, l’approche pédagogique, et les conditions d’adhésion  à Chang Ming , d’autre part, pouvaient correspondre à notre nouvelle identité, à nos aspirations, qu’elles soient techniques, pédagogiques, organisationnelles, ou relationnelles , avec l’enseignant   référent et sa méthode .

 

3-Déroulement du stage

A -Exercices d’échauffement  généraux.

1-Pousser les mains jointes  en extension vers le ciel, dos ouvert, corps entièrement détendu, comme lors de la première pièce

   de Brocard.

2- Même position des mains jointes, jambes tendues, buste baissée, tète vers le sol, pratiqué avec le dos le  mouvement de la

    Vague en avant, d’une manière très relâchée

3- Même position que deux, mais mains à plat sur le sol, en restant jambes tendues

4-.meme position, meme statique, mais, avec les mains derrière la nuque, ramener, allonger, comme le mouvement de l’aigle

5-Frotter les mains l’une contre l’autre, produire de la chaleur, en profiter pour se masser les yeux, les temps, les oreilles, la

   gorge et toute la ligne de centre.

6-Entourer la tète avec les mains, l’une tenant le menton, l’autre assurant un doux pivot afin d’assouplir la zone cervicale ; ne

   Ne pas forcer,  respirer profondément.

7-Masser les épaules en tenant  ea coude  du bras massant afin de bénéficier de la totalité de l’énergie du corps

8-Etier les bras tendus en tirant vers le sol les doigts tendus avec l’autre main, dos ouvert, en expirant, mais sans forcer

9- Etirer et faire jouer les poignets avec la paume opposée

10-mains nuque, faire pivoter le corps selon un déplacement latéral statique, contribuant à faire travaille la ceinture

     Abdominale.

11-Epaules rondes, initier des roulements progressifs vers l’avant, en douceur, afin de réveiller l’ensemble des points de la

     ligne de centre.

12-mains hanches, jambes fléchies, dos droit, rotations dans les deux sens, come la cinquième pièce de brocard

13- Position fléchie, un jambe en avant,, un main dans le dos, masser la cuisse, le flanc, et la zone lombaire, l’autre poing

    demeurant  appuyé dans le dos. 

14- même principe, avec la min, effleurer l’égerment l’intérieur dela cuisse, de la jambe

    entourer les pieds, et remonter vers la hanche par l’extérieur, comme pour le sixième pièce de brocard.

15- Position du cavalier, bas sur les appuis,  pied largement ouverts vers l’extérieur, paumes posées ur les cuisses,  coudes à

    l’extérieur,  regard, résolument derrière, descendre le buste, changé de coté plusieurs fois, comme dans la cinquième pièce

   de brocard.

16-lancer simple de jambe tendue

17-lancer de jambe tendue avec sollicitation finale du talon, reposer sans retomber lourdement ;

Ces deux travaux doivent s’effectuer en douceur, sans tension.

Cet enchainement de techniques d’échauffement n’arien de particulier et d’exceptionnel, dan l amseur ou il peut peur s’apposer à n’importe quelle acticité sportive ou physique de préparation

Il constitue néanmoins une alternative, un complément aux exercices des cinq animaux, que Paolo pratique d’ailleurs selon une conception plus personnelle, consistant à mieux ressentir celles es zoners de buste, thorax ou abdomen, que nous sollicitons, peu pou prou.

 

C- Exercices de postures

 

Paolo nous explique que l’école Chang Ming propose, comme toutes les écoles, un progressivité dans les exercices, selon plusieurs familles d’exercices posturaux, tous destinés, selon leur niveau de difficulté, à appréhender le corps énergétique ; la conception de cet enseignant, en matière de posture, consiste à expliquer qu’il n’y selon lui, pas de posture juste, mais des postures dans lesquelles on se sent  bien, ou pas, selon son propre ressenti intime ; ceci dépend, bien entendu de l’âge, de l’état, du parcours, e l’histoire de chaque adepte, plus aou moins avancé ; il faut , en tout cas, que la forme travaillée, corresponde à celui des objectifs que chacun s’est fixé en fonction des paramètres  ci-dessus énoncés.

Ces séries de posture semblent être au nombre de trois :

-1Posture pour les cinq organes

-2- Postures pour les méridiens extérieurs

-3-Postures pour les 12 méridiens.

Paolo nous met en garde sur le fait de ne pas confondre ce travail postural détendu, sans intention martiale, avec ce celui pratique », selon encore d’autre postures, avec celui eYi chuan, ou le mental doit conserver, et si, possible projeter une intention incisive et belliqueuse.

Nous travaillerons, pendant ce stage, à plusieurs reprises, la première série des cinq organes, soit :

Postures pour le cinq organes

1-       Posture pour le cœur : élément feu, émotion joie

Selon posture en demi pas, mains paumes vers le sol, doigts rêvant les uns vers les autres, placé au niveau de tan tian, dos ouvert, point bai hui (sommet du crane tendant vers le ciel, point hui yin, (périnée) tirant vers le sol, épaules en élargissement interne, sternum fondu afin de solliciter l’arc du diaphragme ;  garder la posture selon le temps que l’on veut, en respirant profond »ment, dsan s’investir dépensé »es négatives ou conflictuelles

2-Posture  pour le foie, élément bois, émotion colère

Meme position, meme construction du corps énergétique, mains à hauteur du sternum,

Comme dans la position Zhang zhuan traditionnelle (ritsu zen), mais doifts proches les uns des autres, pouces rabattu de façon à ce que l’on puisse poser un objet sur la coupole ainsi formée, bras poussé, sans excès bien sur vers l’avant ; Garder la posture e selon notre ressenti

3-Posture pour la rate, élément terre, émotion : réflexion ,

Meme posture  meme construction du corps énergétique, mains meme hauteur, mais retournées vers l’avant, pouces dirigés vers le sol ; meme principe mental, pas de tensions,  durée de la posture à la libre appréciation de chacun.

4-Posture pour les reins, émotion, élément eau, émotion,   peur viscérale.

Même structure, mais bras tendues, mains en offrande avec les auriculaires légèrement relavés, , l’épaisseur d’un bras pouvant passer s’insérer entre l’arrière des deux bras et la zone sternale de la personne exécutant cette posture ; il est essentiel de lâcher les épaules, car cette position de bras, incluant une volonté de rapprocher les coudes, a tendance à faire se contracter la zone scapulaire voire la zone cervicale ; il convient, tout au contraire, de bien libérer toue tension, et d’installer un sensation d’élargissement transversal entre les points de chaque épaule.

5. Posture pour les poumons, élément métal, émotion chagrin.

Meme structure, bras allongés  latéralement, de chaque coté du buste, les mains largement ouvertes en direction du sol, à hauteur du tantian (champ de cinabre, pubis e), delta entre le pouce et l’index (hu Ku, gueule du tigre, largement ouverte).

 

Paolo prône un pratique légère et quotidienne  plutôt qu’une pratique forcée,   irrégulière et intermittente ; il dit et répète qu’outre quelques grands principes de base, il n’y a de posture jutes que dans la mesure où la personne qui l’exécute en ressent un bien être ; on peut donc dire qu’une posture fausse génère un grand mal être.

 

D-.Exercices dynamiques d’échauffement du bras et des mains, en vue de l’exécution de la forme

     Tan lian : entrainement seul

 

Ils s’effectuent  en position poids répartis entre les deux jambes, souplement fléchi sur les genoux buste relâché, basin retraversé, avec utilisation successive, des bras et des mains  en huit forme pluridirectionnels,  avec en bout de trajet, une recherche d’impact non pas contracté, mais comme si on utilisait les membres comme des fouets, .

1-       Mains hauteur nombril, lancée  direction de l’intérieur vers l’extérieur, paumes vers  les plafonds

2-       Main hauteur plexus, doigts repliés  vers l’avant bras, se déplient en trois  temps, poignet, dos de la main, doigts.

3-       Même hauteur que « deux », lancer la pointe des doigts, puis en fin de course, la paume vers l’avant

4-       Meme hauteur, exécuter la technique de « Ji » (presser vers l’avant, mais main jointes

5-       Hauteur semblable, exécuter avec la main un volte en arrière du bassin, pour la ramener paume vers l’avant sur

       l’impact

6-       Technique de « àn » , soit la sixième de l’enchainement de « tirer la queue de l’oiseau( yu Lan quewei)

7-       Technique de « Ji », (cinquième temps de yu Lan quewei, mais avec un libération finale dynamique de la main.

8-       Pousser les dos des mains vars le haut, passer sur le centre, frapper les genoux sur un position basse en expirant ; marquer l’impact vers le haut

 

           E -Exercices à deux en vue de la stabilisation et de la solidité de la posture de base.

Ces exercices sont  primordiaux, et doivent être largement et souvent pratiqués

Ils peuvent suivre la structure progressive suivante :

1-       un élève travaille, en position basse, avec l’écart adéquat, l’autre le tien aux hanches, essayant de le déstabiliser en le

       tirant, puis en le poussant ; inverser les rôles.

2-       Les deux mêmes en changeant sans préavis les directions, le défenseur tentant de ressentir avec la mobilité de son tan  

       tian, comme s’il avait une boule en cette zoner, les intentions de poussée ou de tirée de son partenaire ; inverser les

      rôles.

3-       Les deux mêmes sont acteurs en meme temps, essayant de se déstabiliser un peu plus dynamiquement, avec défense et

      attaques des bras et des mains sur toutes les parties du corps ; attention, il ne s’agir pas de porter des coups, mais de

      varier la hauteur, la localisation, la fréquence, la durée et l’intensité de poussés, des tirées et des accroches ; ce  travail

      recèle une immense subtilité, qui doit nous amener à ressentir le déséquilibre potentiel de l’autre, qu’il soit entrain

     d’attaquer, de défendre ou qu’il soit attentiste ; il convient de ne pas exagérer les mouvements, de bien ressentir quelle

     jambe va pousser, quelle autre va tirer et quand et comment, et combien de temps, en fonction dece que fait, ne  fait pas, ou

     va faire l’autre ; il s’agir d’un dialogue tactile, proche de celui que je rsns personnellement dans l’approche du pousse

     main  (tuishou)

Cette stabilité constitue, pour l’exécution du tai chi, un paramètre incontournable garant de la bonne réussite de la forme et des applications, quelqu’en soient l’origine, Pa qua  Xingu Yi, Chen, Ying ou autre  .

 

F-Approche du Tai chi chuan des synthèses  authentiques

Paolo nous propose son point de vue selon lequel le tai chi et le point de rencontre de ces divers éléments, statique, dynamique, mobiles ou immobiles.

L’exécution des séquences, quel qu’elles soient doit en permanence comporter la dimension de « fajing », soit la transmission élastique de la  force à travers les muscles et les tendons, en suivant le trajet de l’intention ; il convient de ne pas confondre le « fajing » avec le « fa li », explosion brève de force contracté, propre au Yi chuan, mais complémentaire du fajing

Outre cet élément de base, il convient également de progresser sur les éléments suivants :

        – Moins marquer les avant arrière, afin de ne pas affaiblir l’équilibre et la stabilité éprouvée lors des  exercices par

        deux.

– Toutes les articulations doivent être connectées avec la sensation de sphère centrale, située au niveau de tan tian..

– Pour trouver la sensation de verticalité, il convient d’aligner l’épaule, la hanche, le genou, la cheville, si l’on veut maintenir, en restant détendu, une  position stable et forte.

– Créer une sensation élastique avec tous le corps

– Cacher la force dans les mouvements

– Exécuter les séquences selon une amplitude limitée, de façon à maintenir la structure interne omniprésente : tenir le

   centre.

– Sentir la capacité de transmettre librement la force dans toutes les directions.

– Davantage maintenir les hanches de face, en éradiquant les positions trop de profil sans doute inoculées par la

 pratique du sabre japonais (hanmi)(ex , dans les trois mouvements position arrière de yu Lan quewei) 

 

Les manières de travailler peuvent être les suivantes :

– Enchainer les sections, et les parties

– Enchainer chaque séquence en déplacement, à droite et à gauche

– Appliquer chaque séquence par deux, en mode doux, ou plus dynamiques, selon les objectifs dela pratique

Paolo nous recommande d’intégrer les sept ou huit petites modifications inclues au sein de la première partie,  qu’il nous expose, et » propose »,; il  nous montre  diplomatiquement les différences d’avec notre tai chi, , sans toutefois  jamais dénigrer l’interprétation de Sensei KT ,avec qui il a lui-même travaillé pendant des années ; il précise qu’il estime que l’interprétation de ce tai chi par Sensei KT est davantage axée sur des applications percussives, alors que l’enchainement original , transmis à Wan Fu Lai par Wang Shu  jin, relève de saisies, des chinna  (torsions de doigts)  et des clés ; Paolo prône d’ailleurs, pour les travail par deux, les applications  systématiques avec des saisies de poignets

 

 

4-Réflexions personnelles

Je rejoins Paolo, et de nombreux de mes contacts et relations  en France ou de mes correspondants, au Canada, au Liban et ailleurs, qui  estiment  que la pratique du tai- chi, quelqu’en soit la forme, ne doit en aucun cas être réduite à sa dimension martiale, car l’obsession de l’efficacité est aléatoire ; elle nous ferme une autre perceptivité potentielle et use notre support vital avant terme et contre nature ; je pense, comme lui, qu’il ya , et il y aura toujours, quelque part sur terre de nombreuses personnes plus fortes que soi, quelque soit la nature, la fréquence, la durée et l’intensité de notre entrainement.

 La dimension recherchée doit donc  davantage s’orienter vers un efficience, c’et à dire la tension vers une santé et un bien être de base, qui, entretenus  raisonnablement par un pratique autant que faire se peut quotidienne et raisonnable, doit nous amener vers un bien être, synonyme  de disponibilité et de capacité d’adaptation en toute circonstance de situation conflictuelle, dont le combat n’est qu’un aspect….,, une…  variante. !!.

Paolo ne partage donc plus, tout comme moi, l’attitude comportementale des stakhanoviste forcenés de l’entrainement outrancier, pratique excessive  qui ne mène  qu’à une usure prématurée de l’appareil locomoteur dans son ensemble  , et  par voie de conséquence ,à celle  de la longévité ; ceci est , sans doute liée à une  sensation de mal être du à la crainte de ne jamais en faire assez et bien, ou mieux  que d’autres ; autrement dit, celui ou celle ne  pouvant plus se mouvoir à cause de l’arthrose ayant envahi ses articulations  suite à un excès d’exercices,  ne peut en aucun cas mordre à plein dent le plaisir de vivre..et de s’entrainer, une fois parvenu à un âge avancé,  car il  sera accaparé par des priorités d’ordre curatives .

Combien d’entre nous, parvenus à un âge respectable, soit, cinquante, soixante ans ou plus, ont réellement et sincèrement encore assez de motivations pour assumer impunément cinq à six heures d’entrainement forcené par jour, au détriment de toute récupération,  active ou passive ? Combien des près du millier d’ élèves qui ,me sont passés entre les mains depuis 1993  ont suivi cette filière ? que sont devenus ceux des enseignants qui m’ont formé à cette quantité forcenée d’entrainement ? Pratiquent-ils toujours ? si oui, pour combien de temps encore à ce rythme, 

La pratique doit donc s’envisager à tire préventif, selon un esprit et une sensibilité ouverts à 360 degrés.

 

L’école Chang Ming nous offre la possibilité de perpétuer, sous réserve d’une petite adaptation, notre pratique engagée en terme pédagogique  au dojo en 1993, ébauchée  en tant qu’adepte par le signataire, en 1986.

Cette école va nous permettre d’évoluer vers un approfondissement du Pakua et du Xing Yi, qu’il me semble que nous n’avons fait qu’effleurer tout au long de ces  longues années

Cette école nous donne la possibilité de garder notre dimension identaire indépendante, ce à quoi nous sommes très attachés depuis notre récent changement de vocable ..

Elle nous donne aussi la possibilité d’une certification de compétence technique et pédagogique, pour ceux d’entre nous décidés à voyager à Taiwan, et à rencontrer Wang Fu lai

Je suis  certain qu’un tel changement comportera, comme partout des difficultés, des contrariétés, des conflits, des déceptions

Mais notre bonne volonté à tous et à toutes, notre désir d’avancer, de construire, , de préparer l’avenir constiuent un formidable pari avec le futur .

Essayons, d’être heureux…, juste pour l’exemple !!(Jacques Prévert)

La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe (jacques Prévert)

 

Jean- Claude Guillot, ST Germain au Mont d’or, le vendredi 5 mars 2010


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